MA DECOUVERTE MODE : ZARA
Hey! Salut!
Ce post pour te raconter une histoire incroyable de fringues! Oui la mode me perdra!
Ces derniers temps j’ai pas mal trainer chez Zarounette ZARA! Et crois moi, chose pas courante dans ma routine shopping!
Avant pour moi Zara c’était trop la foire fouille : trop de fringues, trop de style, personne pour te conseiller, la queue à la cabine d’essayage, la queue à la caisse…. Bref tout ça réuni faisait que … ben j’y arrivais pas moi à trouver un truc sympa chez eux!
Mais pour avoir vu ces derniers mois sur leur site internet (très bien réaliser d’ailleurs) de chouettes créations, je me suis laissée tenter!
Tout d’abord au niveau du Budget c’est quand même pas pareil, même si j’adore les grandes marques comme MAJE, SANDRO, CLAUDIE toussa faut reconnaitre que c’est plus cheeeer (normal les tissus sont de qualité supérieure : soie, cuir d’agneau, lainage…)! Et en ce moment le budget ben, j’en ai pas clairement.
Alors après avoir passer l’appréhension de y’à trop de fringues (ce qui est vrai quand même avoue!), je m’organise : je fais tous les rayons au laser Supersteph! Et finalement ça fonctionne, dès que je vois un truc qui me plait je l’essaye, je regarde et je me dis tiens c’est pas si mal!
Pour la queue je vais à la caisse homme (ahahah ben quoi y’a jamais personne) et pour l’affluence, j’y vais en semaine et pas aux heures de pointes. Pour le conseil : je me fais confiance (c’est bien aussi!).
Tout ça pour te dire que je m’ a fait plaisir avec un manteau perfecto noir mi cuir-mi raisin, mi lainage!! Certes le prix n’est pas non plus cadeau (les manches et le col sont en cuir de mouton) mais beaucoup moins onéreux que les grandes marques citées plus haut.
Photo ZARA! Le voilà mon nouveau manteau!
J’aime bien son côté pas fini avec ses bouclettes!
Bref je me suis acheter un manteau manches en cuir chez ZARA quoi!
Bon pour le grand froid tu repasseras hein, mais pour des températures normales ca le fait! et j’ai pris M car le S était vraiment très petit!
Dans le même esprit il existe aussi
Pour en savoir plus… J’aime bien aussi celui là!!
Du coup je me suis pris aussi un tee shirt complètement tendance, des fringues pour les enfants… quoi? Ben vi je sais : dis rien!
Et toi ZARA ca te parle ?
SATOSHI FUMI : PERSPECTIVES 66
Ola les copains! C’est l’heure du Son sur FPTS!
Un mix bien HOUSE pour pas changer parce que j’aime vraiment ça! Un truc qui tape bien, qui met grave la pêche…Et si ce mix t’as plu et que tu es extrèmement sage la semaine prochaine on s’écoutera la Part 1 qui est pas mal du tout aussi!!
Monte les watts c’est parti! Tous les enchainements sont parfaitement maitrisés (c’est juste terrible!) bref : Perfect!
Un dj qui nous vient de Tokyo (ça nous change de Berlin nan ?) : Satoshi Fumi. A suivre de très près!
Tracklist
01. Roland Klinkenberg – Kindred Spirits (Original Mix) – [Everysoul]
02. Master H – A2 Do UR Thang! (Dub) – [Komplex De Deep]
03. Sezer Uysal pres. Spennu – Je Te Veux (Satoshi Fumi Remix) – [Savoir Faire]
04. Farrin Collins & Thorsten Hammer – Hemisphere (Original Mix) – [Ametist]
05. Pieper & Kappetijn – Eagle Turns (Iori Wakasa Remix)- [EMBI]
06. ID – ID
07. Diedier Largemain – Bisbalboom (OWL aka Satoshi Fumi Remix) – [Street King]
08. Surgeon – The Power of Doubt ? [iK7]
09. Hideo Kobayashi – 03 Bamboo Shoot Soup – [Apt. International]
10. Funk D’ Void & Nir Shoshani – Forest Of The Unreal (Original Mix) – [Outpost]
11. Pig & Dan – Lone Ranger (Steve Parker Remix) – [Soma]
12. Todd Terry pres. House Of Gypsies – Samba (Satoshi Fumi Remix) – [InHouse]
C’est qui Satoshi Fumi ?
He started to collect a set of synthesizers, rapidly building a home studio and experimenting with his own material along the way. This evolution marked the start of his career in dance music. During the mid-1990’s, he grew interested in the Detroit, Chicago and New York house movements. He absorbed and digested the different sounds of electronic music throughout that period, helping him to shape, develop and influence his own unique style. Satoshi’s production skills have matured enough today, allowing him the freedom to create, and as a DJ, to mix a variety of dance music styles together such as Techno, House, Click and Acid.
For Satoshi, the opportunity of his lifetime as a producer arrived in 2002 when DC duo Deep Dish picked up his track “Protlex” and released it on their Yoshitoshi Recordings under the slight name change Satoshi Fume. The “Dub Beatlex” mix was licensed to Desyn Masiello that year for his Symphonic (DJ Magazine) compilation and also appeared on Phil K’s Balance 004 (EQ / Stomp) mix.
He is an extremely versatile artist and is always involved in many projects at the same time. Owl:He makes deeply and clicky tech house sounds,Deptech:blends atmospheric house with tough techno elements,and Elektron:mixes sensual sequence with electro house grooves.
Satoshi possesses a rich imagination, and will continue to be a prolific producer across many musical styles and building a strong discography the entire time as a result.
Les Liens
BON MIX !
POP UP MARKET MARCHE EPHEMERE MODE & VINTAGE
Hey on prend les mêmes et on recommence ou presque!
C’est le retour du Pop Up Market! Mais cette fois en mode Hall de Lyon Paul Bocuse (d’où l’affiche à petits carreaux rouges et blancs!)
C’est Quand ?
Du samedi, 20 octobre 2012 10:00 au dimanche, 21 octobre 2012 18:00
C’est où ?
aux Halles de Lyon (102 cours Lafayette – Lyon 2), sur la terrasse du restaurant Chez les Gônes !
Y’aura quoi ?
Créateurs d’accessoires, vintage de qualité, gourmandises sucrées salées, lyonnaiseries en tous genres, coins ludiques pour petits et grands, salon de thé, Rétrogaming, Expositions photos, Illustrations, Musiques, Dj’s, Fun, Fun & More…
Pourquoi faut y’aller ?
Parce que l’ambiance est sympa, les créateurs (trices) aussi! Et que c’est un bon moment made in Lyon!!! Alors n’hésite pas et va au Pop Up!!
Bon Pop Up Market!
COMMENT MAGNIFIER TA CHEVELURE DE REVE
Hey le vendredi tout est permis! Si parce que j’ai envie! Aujourd’hui c’est de bôôôté que je vais te parler : la bôôôté de ton cheveu, enfin je vais essayer!
Reprenons du tout début de l’histoire! Mes cheveux sont frisés enfin Bouclés c’est plus joli n’est ce pas?! Qui dit bouclettes dit sécheresse du cheveu ben vi c’est vendu l’un ne va pas sans l’autre :-(… C’est plutôt moyen d’ailleurs parce qu’au quotidien c’est presque deux bras que je balance dans des produits capillaires! Pour te dire!
Bref ça c’est la vie de mon cheveu! Donc en rentrant de vacances après avoir passé 2 mois sous le soleil mon cheveu a eu une rentrée comment dire : difficile ?! Du coup j’essaie tant bien que mal à lui refaire une santé, mais le bougre n’est pas facile à traiter!
J’ai donc changer toute ma routine soin capillaire (le truc de Guedin quoi!)! J’ai essayé de finir tous mes produits restant et je me suis offert un masque en parapharmacie! Oui parce qu’a force je me dis pourquoi pas essayer!
Jusqu’à présent j’utilisais des produits de Coiffeur (TIGI et dernièrement Shu Uemura) mais ca c’était avant que j’achète ma maison!!!
Bref je me suis tournée vers le Maître du Capillaire : Monsieur René FURTERER!
Même que tu peux faire un diagnostic sur son site tellement il est sympa le gars! Evidemment le verdict est tombé net : CHEVEUX TRES SECS! Merci je le savais déjà, du coup FURTERER me propose toute une gamme pour mon cheveu soit 2 500 produits pour 1 000 000 d’euros!!!
Voilà mon nouveau compagnon de Salle de Bain!
Tout est marqué dessus!
Non ceci n’est pas un flan à la vanille! Mais mon masque pour les cheveux!
Voilà mon masque cheveux quoi!
Ce que dit la marque
Réhydrate et protège les cheveux secs, ses agents naturels lissent la fibre kératinique et assouplissent les cheveux desséchés.
Protège les cheveux et leur apporte de l’élasticité ainsi qu’une douceur exceptionnelle.
Texture fondante, crémeuse et au parfum gourmand.
Dès la première application permet de retrouver une chevelure éclatante, légère et facile à coiffer.
Conseil d’utilisation
Après Carthame shampooing lait hydratant, appliquer mèche à mèche une noix de Carthame masque douceur hydro-nutritif sur l’ensemble de la chevelure essorée.
Laisser poser 2 à 5 minutes puis rincer abondamment.
C’est qui René Furerer ?
Depuis 1957, René FURTERER propose une expérience de soins exclusifs et sur-mesure pour assainir, ressourcer votre cuir chevelu et embellir vos cheveux de façon visible et durable.
Formulés à base d’huiles essentielles 100% naturelles et d’extraits de plantes rigoureusement sélectionnés, ces soins personnalisés sont une véritable invitation à la relaxation, au plaisir et au bien être.
Ce que j’en pense
Alors tout d’abord c’est bien la première fois que j’achète un produit hors coiffeur! Oui tout à fait madame!
En ce qui concerne l’odeur elle est très agréable (“noisette verte”), la texture et fluide du coup sur cheveux longs faut bien s’organiser à en mettre que sur les pointes et pas ailleurs!
La première fois que j’ai testé ce nouveau produit je l’ai laissé posé 2 heures! Je t’avoue aussi que c’est la première fois que je fais ça aussi (ça fait pas un peu beaucoup de première fois!)!
Mais bon vu l’état de sécheresse de ma chevelure de lionne j’avais pas trop le choix! Du coup le résultat a été plus que probant c’est à dire que j’avais
– le cheveu tout doux
– la boucle bien déssinnée (évidemment puisque hydratée)
– une belle épaisseur de cheveux cela ne pas alourdi ma chevelure ce qui arrive souvent avec des produits trop hydratants!
Bref ravie de cette première fois! Je pense (et cela n’engage que moi) que pour tout masque faut laisser poser un minimum d’une heure c’est comme sur le visage 3 minutes ça me parait trop court!
Du coup c’est quand même assez contraignant ct’affaire!
Mais mes cheveux sont moins secs vraiment maintenant me reste plus qu’à trouver le produits qui redessine mes boucles sans forcément que je fasse un masque!
Donc par ce post je fais appel à toutes les bouclées de la terre quel produits utilisez vous les filles! Help me!!!!
Et toi tu fais comment avec ton cheveu sec ?
LE BLANC, DU BLANC….
Hello! Bon comme tu le sais, oui je sais je me répète mais c’est pour les nouveaux nouvelles, je suis en pleine session peinture blanche dans ma future maison!
Un bout de futur salon…
Et autant te dire que c’est un boulot de titan!! J’ai 2 000 m2 de peinture à poser 🙁 et je peins tout blanc (y compris certains sols) je verrais après pour le choix de la couleur sur quelques murs!!
Mais ça un côté sympa aussi de peindre même si j’avoue que je ferais pas ça tous les jours (enfin en ce moment si!)! Remarque ça fait faire du sport c’est pas si mal et puis c’est pour ma maison hein donc que du bonheur!
Il y a quelque temps de ça j’avais repéré pas mal d’idées de déco sur Pinterest! Du coup je te fais partager mes coups de coeur sur des ambiances intérieures essentiellement blanches ainsi que des idées de Déco!
Repérages d’idées déco
Sympa ces caisses en bois!
La bonne idée cette penderie!
Ca tombe bien, j’ai plein de palettes dans mon jardin!
J’adore l’idée du détournement de caisse! Dans la chambre de mes enfants ça sera parfait!
Pour une maniaque du rangement comme moi c’est idéal!!
J’ai dans l’idée d’adapter des portes coulissantes dans ma cuisine pour faire mon garde manger… à suivre!
Bien vu le cintre en porte manteau!!
Bref tu l’auras compris j’ai hâte d’emménager et de créer, ranger tous les espaces avec des objets de récup et deux coups de pinceaux!
Je te tiendrais au courant de mes créa futures!
La belle soirée à tous.
Pour plus d’inspiration va voir mon Pinterest !
DJ MIX BY DJINXX : JEUDI ELECTRO SUR FPTS
Hey salut les potes! Aller un petit mix du jeudi pour finir la semaine ou presque!
Cette semaine j’écoute pas mal de son en peignant ma maison du coup j’ai découvert un artiste qui m’a bien plu! Alors je le partage avec toi aujourd’hui!
Je ne suis pas arrivée à trouver une version déjà télécharger du coup va falloir bosser un peu :-)!
Pour écouter le mix c’est par ici
Y’a tout ce que j’aime dans un mix! C’est très House très electro bref une jolie découverte!
C’est qui DJINXX ?
Djinxx, de son vrai nom Karim Sahraoui, est un DJ et producteur de musique électronique français de renommée internationale. Sans être lui-même de Détroit, son style personnel se rapproche de la Techno de Détroit.
Sa musique est publié sur des Labels prestigieux tels que Ovum recordings (USA), Cocoon Recordings (ALL), Bedrock (UK).
BON MIX!!
MONOPRIX ET EMMAUS
Bonjour!
Juste en passant une petite information Utile mais pas Futile.
Monoprix réitère son action collecte de vêtement au profit d’Emmaüs! Et perso je trouve que c’est une sage idée!
Je suis en plein dedans car qui dit déménagement dit tri! Et c’est ce que je fais depuis quelques semaines! Autant te dire que j’ai porté quelques sacs de fringues et autres à une association qui fonctionne aussi comme Emmaüs!
Non seulement ça vide tes placards et surtout ça peut aider des personnes dans le besoin! Alors moi je dis banco!
Dommage j’ai déjà tout trier sinon j’aurais évidemment participer à cette collecte nationale!
Sache aussi qu’Emmaüs se déplace pour tes encombrants suffit de les appeler, ils sont passés hier chez moi et débarrasser télé, meubles etc… C’est top nan ?!
Donc tout ça pour dire que cette collecte de vêtement débute dès aujourd’hui et ce jusqu’au 28 Octobre!
C’est quoi cette Collecte?
Du 17 au 28 octobre, un collecteur sera installé dans les magasins, en sortie de caisse ou à proximité de l’espace accueil. Les clients pourront déposer leurs vêtements et s’informer sur les différentes filières de recyclage.
A travers cette grande collecte, Monoprix permet aux citadins de donner une seconde vie à leurs vêtements, qui seront proposés à des familles à faibles revenus via les réseaux d’associations ou revendus à petits prix dans des salles de vente.
Les vêtements qui ne pourront pas être réutilisés en l’état seront défibrés ou effilochés et intégreront un nouveau processus de production. Une fois transformés, ils serviront de matière première pour la fabrication soit de nouvelles matières, soit d’un isolant écologique, thermique et acoustique appelé Métisse.
Info pratiques
Liste des magasins participants
Emmaüs Lyon
Emmaus France
Bon Tri!
MY SUELLY POUR MONOPRIX
Bonjour!
Aujourd’hui je te parle de Monoprix! Encore lui il vient de frapper fort après la déco (Maison Georgette), les fringues (Américan Retro) le vlà qui fait dans les Sacs! Et pas n’importe lesquels hein My Suelly!
Ca te parle ou pas ? Mais si The marque of the Sac!
Pour celles qui ne connaissent pas encore MySuelly, c’est une jeune marque fondée en 2009 par les deux créatrices Adelaïde Salvi et Géraldine Cohen, et qui cartonne grâce à ses sacs et plus récemment ses chaussures, inspirés de l’élégance des années 50.
Monop toujours une nouveauté d’avance!
Alors toute cette jolie et nouvelle collection sera dans ton Monoprix dès Mercredi 17 Octobre!
Attention Prêtes ? Feu, Partez!
Sac Bowling tweed carreaux anglais et cuir, 80 € – Pochette tweed carreaux anglais et pompon cuir, 25€ – Sac cartable cuir, 140 € – Sac besace pois tissés et cuir, 60 € – Sac bandoulière cuir, 60 € – Chaussures cuir, 90 €
La collection MySuelly pour Monoprix propose des sacs, des pochettes et des chaussures. Lainages, tartans anglais, tweeds, tissés pois et cuirs bordeaux ou cognacs, la collection est élégante, féminine et un poil vintage.
Pour quelle création My Suelly pour Monoprix craqueras tu ?
DIOR VERNIS COLLECTION CROISIERE 2013
Hey hello!
Entre deux coups de pinceaux mais cette fois de vraie peinture, me revoilà épuisée mais ravie de peindre ma future maison! Du coup le blog sera en mode ralenti pour une dizaine de jours… Je ferais au mieux entre mes pinceaux et mon clavier :-)!
Et en parlant peinture je viens de tomber sur des nouveautés verniesques!
Attention ca réveille les pupilles ces nouveautés! Ca me change du blanc de mes murs !!
Je m’interroge quand même sur ces 3 nouveautés qui sont disponibles en avant première (genre!) exclusivement sur le site de Dior.com. Y’a plus de saison ma pauv’ dame même pas dans les vernis!!
Un jaune délicieusement fruité et infusé de lumière (Dior vernis n° 438)
Un rose charnu et gourmand à la brillance aquatique (Dior vernis n° 658)
Un vert acidulé et pétillant pour des ongles color block (Dior vernis n° 602)
Quoi c’est pas des couleurs de saison?! En tout cas ça pète ça donne envie de se remettre en maillot de bain nan?!
Alors tentée?!
ID D’ART : SALON L’ENFANT & SON UNIVERS
Bonjour! Un peu d’agenda Lyonnais aujourd’hui!
ID d’ART (rappelle toi ici, et là) revient avec un salon spécialement dédié à l’enfant et ce qu’il s’en rapproche! Va y’avoir de la déco, de la mode! Des produits innovants pour faciliter la vie des femmes enceintes et des parents, des bonnes idées loisirs, des conseils, des adresses futées …
C’est quoi ce salon ?
C’est quoi les Animations ?
Tapisserie murale à colorier et papertoys machine à laver à découvrir sur le stand du magazine GEORGES, Editions Grains de Sel (stand 53)
La PETITE ACADEMIE (stand 41), école de dessin et arts plastiques, animera des séances de ¾ d’heure de peinture & sculpture (5€ la séance). Inscrivez vos enfants dès votre arrivée!
Les séances : vendredi à 17h00 ou 18h00 / samedi & dimanche à 10h, 12h, 14h et 18h
C’est qui les Exposants ?
Ludogym • Bugaboo • Suckle • Marius Guetat Espace • Selenium • SnB and Co • Atrington • Rêves de Grenouille • L’Esprit de Luna • Gatoune et tête de clou • Anim’en bois • Et Opf, création textile • Mimi Lutine • Googoo&gaga • Meninas • Costumes de rêve • Casse-Bonbons • Ici la Terre • Rire et grandir • Eva & Oli • Alice et Jules • Tichoups • Eféeor • Orch-idées • 1001 familles • Les Cahiers de Constance • Lolita le chat • Nathalie Roux • La Faute à Voltaire • Little Bohème • Jour de Violette • Nina • Rue des Pompons • Taupinette et compagnie • DécoFlo • L’atelier des louloutes • France Loisirs • Pitili • Poisson Bulle • Le bal des fées • Valérie G… • ArchiKids asv. • Bulle d’Air Park • Mon petit bout d’ailleurs • Hélène Douchet • Linna morata • Sugar Town • Elowomum • Playmath • BabyBloom • Little Jane • Mon Petit Jama • Blune • Grains de sel – Magazine Georges • Albert et Clémentine • B for Baby • Moustache
C’est où et quand ?
Vendredi 12 octobre : 13h – 20h
Samedi 13 octobre : 10h – 20h
Dimanche 14 octobre : 10h – 19h
A L’Embarcadère, Lyon 2
Entrée 5€ (Pass illimité nominatif 3 jours)
Gratuit pour les moins de 12 ans.
Bon Salon!
GAREYTH NOYCE : DISTRICT UNKNOWN 020
Le Jeudi c’est Electro! Je t’ai trouvé un mix de notre copain Gareyth Noyce mais si rappelles toi t’avais adoré son mix (ici) (là) et encore (là)!!
Donc ce mix qui commence tout tranquillement limite facile un peu (oui je m’entends quoi!).
J’ai bien aimé les morceaux seuls :
Junction (lien ici) à la 10′ : un morceau qui tape bien!
Deep House Point Of View : pareil c’est juste bien!
Un mix complètement chanté en fait! C’est facile à écouter dans ta salle de bain, dans ta voiture, dans ton casque bref sympa quoi!
Attention la fin est comment te dire Electro à mort!!! Et je crois que finalement c’est ma partie préférée!!
BON MIX!
CE QUE JE SAIS DE VERA CANDIDA
Ca fait un moment que je voulais te parler de ce bouquin!
Un vrai coup de coeur (encore un!). J’ai pas mis longtemps à le finir malgré mes travaux (le soir c’était un pur délice avant de m’endormir!).
C’est qui l’auteur ?
Après le bac, direction l’école Estienne où Véronique Ovaldé passe un BTS édition, une façon comme une autre d’entrer dans le milieu littéraire pour celle qui n’a pas eu la chance de naître au sein de ce cercle très fermé.
Elle se lance ensuite dans des études de lettres par correspondance alors qu’elle travaille comme chef de fabrication et publie en 2000 un premier roman, ‘Le Sommeil des poissons’ (Seuil). En 2002, paraît ‘Toutes choses scintillant’ (L’ Ampoule), une deuxième œuvre remarquée.
L’année suivante, elle signe chez Actes Sud ‘Les hommes en général me plaisent beaucoup’. Suivent ‘Déloger l’animal’, l’un des romans incontournables de la rentrée littéraire 2005, et ‘La très petite Zébuline’, un livre jeunesse avec l’illustratrice Joëlle Jolivet, en 2006, toujours chez Actes Sud.
Dans son roman à la fois sombre et merveilleux ‘Et mon cœur transparent’ (Éditions de l’Olivier, 2007), Véronique Ovaldé réussit une nouvelle fois à créer un univers singulier et reçoit le Prix France Culture/Télérama.
En 2009, nouveau succès au sein de la même maison d’édition : ‘Ce que je sais de Vera Candida’ reçoit le prix Renaudot des lycéens, le prix France Télévisions et le Grand prix des lectrices de Elle. Après le recueil de nouvelles ‘La Salle De Bains Du Titanic’ (J’ ai Lu), Ovaldé revient en 2011 avec ‘Des vies d’oiseaux’ (Éditions de l’Olivier).
C’est quoi l’histoire ?
Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d’une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père.
Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida.
Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe.
Parmi elles, seule Vera Candida ose penser qu’un destin, cela se brise. Elle fuit l’île de Vatapuna dès sa quinzième année et part pour Lahomeria, où elle rêve d’une vie sans passé.
Un certain Itxaga, journaliste à L’Indépendant, va grandement bouleverser cet espoir.
Ce que j’en pense
Ce que je sais de Vera Candida c’est qu’elle me manque! Ben Vi elle était devenue mon amie du soir, j’avais hâte de la retrouvé elle et sa famille!! J’ai aussi apprécié le personnage de sa grand mère un peu avant gardiste!
Bref tu l’auras compris j’ai adoré ce bouquin! Autant pour son exotisme : l’auteur t’emmène sur une île inconnue et inventée du coup libre à toi de te faire tes propres images et j’ai trouvé l’idée plus qu’interressante! Ca te met dans une atmosphère tropicale et cette chaleur va au dela de l’écriture : elle t’enveloppe!
Autant pour son histoire : les filles du roman forment une lignée condamnée par une fatalité! Mais pas que, il y aussi une histoire d’amour (ben vi!) une vraie pourtant improbable au départ! Ca parle aussi des liens filiaux, de la transmission familiale, en bref de l’hérédité!!
‘Ce que je sais de Vera Candida’ puise au coeur de l’hérédité qui bat en chacun pour mieux saisir l’inconstance du destin!
Pour en savoir plus sur cet ouvrage clique ici (Vidéo de l’Auteur)
Extrait du Livre
Le retour de la femme jaguar
Quand on lui apprend qu’elle va mourir dans six mois, Vera Candida abandonne tout pour retourner à Vatapuna. Elle sait qu’il lui faut retrouver la petite cabane au bord de la mer, s’asseoir sur le tabouret dehors et respirer l’odeur des jacarandas mêlée à celle, plus intime, plus vivante, si vivante qu’on en sent déjà poindre la fin, celle pourrissante et douce de l’iode qui sature l’atmosphère de Vatapuna. Elle se voit déjà, les chevilles sur le bord d’une caisse, les mains croisées sur le ventre, le dos si étroitement collé aux planches qu’il en épousera la moindre écharde, le moindre noeud, le plus infime des poinçons des termites géants.Tout au long du voyage en minibus qui l’emmène du port de Nuatu jusqu’à Vatapuna, Vera Candida somnole en goûtant à l’avance la lenteur du temps tel qu’il passe à Vatapuna.
Vera Candida sait qu’en revenant à Vatapuna, elle récupérera son horloge. Celle qui ne ment jamais, qui ne fait pas disparaître comme par un enchantement malin les heures pleines, celle qui ne dévore rien et égrène avec précision, et une impartialité réconfortante, les minutes, qu’elles soient les dernières ou qu’elles ponctuent une vie encore inestimablement longue.
Il y a longtemps de cela, Vera Candida a perdu son horloge. C’est arrivé quand elle a quitté Vatapuna vingt-quatre ans auparavant. Elle avait pris dans le sens inverse le même minibus que celui-ci – moins rouillé sans doute, moins rafistolé avec des tendeurs et du gros scotch noir, moins bringuebalant et bruyant, moins sale, la route n’était pas encore visible sous les pieds quand on soulevait le tapis de sol, les pneus étaient moins lisses, mais le chauffeur était le même, des grigris jumeaux se balançaient au rétroviseur, juste empoussiérés maintenant et plus ternes, la radio diffusait déjà une soupe inaudible et criaillante, une sorte de continu crachotement de sorcière.
Vera Candida est seule dans le minibus, elle n’a plus de bébé dans le ventre, mais quelque chose de moins étranger et de plus destructeur, et elle n’a plus quinze ans.
Terminus, gueule le chauffeur.
Vera Candida s’empare de son sac à dos, elle le glisse sur ses épaules, les sangles lui blessent la peau, elle grimace, se dit, C’est ainsi que je sais que je faiblis, le type la regarde descendre, il se penche vers elle quand elle est sur la chaussée:
Je vous connais? lance-t-il.
Elle se retourne et le fixe. Il paraît gêné. Il dit:
Je croyais que je vous connaissais. Mais je vois tellement de gens.
Il fait un geste rond qui englobe la rue et les alentours déserts.
Vous ne pouvez pas me connaître, répond-elle. Elle sourit pour ne pas paraître trop abrupte. Elle sait quelle impression elle peut produire; elle a trente-neuf ans, à cet âge on sait quelle impression on produit sur ses contemporains. Elle devine le malaise du chauffeur, Vera Candida a le regard azur et féroce, ce qui coïncide mal. Elle a, depuis qu’elle est née, toujours gardé les sourcils froncés. Il y a des gens qui ne regardent jamais leur interlocuteur dans les yeux mais juste au-dessus, sur le point le plus bas du front, et ce décalage crée un trouble indéfinissable. Vera Candida a ce genre de regard, c’est comme un muscle de son visage qui serait toujours crispé, une malformation congénitale, impossible d’avoir l’air doux et attendri. Déjà minuscule, Vera Candida ne lâchait personne avec sa scrutation, elle semblait percer chacun à jour – sans que cela fût vrai d’ailleurs, Vera Candida n’avait pas ce pouvoir, elle ne faisait que fixer les gens comme l’aurait fait un bébé jaguar. Et on n’avait qu’une envie, c’était de décamper le plus vite possible.
Le chauffeur referme la porte coulissante et démarre.
Vera Candida pose son sac, elle respire l’odeur des palétuviers, la poussière de la route, le gasoil, et les effluves du matin caraïbe – le ragoût et les beignets -, elle perçoit le jacassement des télés et des radios par les fenêtres ouvertes – il doit être sept heures sept heures trente, estime-t-elle -, le ressac de la mer en arrière-plan, un chuintement discret, elle reprend son sac et traverse le village, se dirige vers la cabane qu’elle a quittée vingt-quatre ans auparavant.
Il y a un snack à la place.
Une baraque en tôle cadenassée. Vera Candida s’approche pour jeter un oeil à travers la porte vitrée, les relents persistants de graillon lui rappellent l’état de son estomac, elle se sent nauséeuse, elle jure entre ses dents, Putain de putain, elle s’attendait de toute façon à ce que la cabane en bois ait été rasée, c’était couru d’avance, elle le savait, n’est-ce pas, avant d’avoir entrepris le voyage, alors pourquoi a-t-elle entrepris ce voyage, elle entrevoit des tabourets retournés sur les deux tables et un comptoir bricolé avec du bois de récupération, elle s’assoit sur son sac et reprend son souffle, elle croise ses mains devant elle, voit ses doigts se superposer les uns aux autres, elle pense à ce que charrie son sang, elle pense à son corps qui déclare peu à peu forfait, elle a la tentation de se laisser aller à un désespoir tranquille. Elle ne se sent pas si mal, elle se sent juste en proie à la fatalité.
Pssst, entend-elle.
Elle lève le nez et aperçoit sur sa gauche, à travers le grillage, une petite vieille, les doigts accrochés au fil de fer, debout dans son jardin pelé, qui lui sourit d’un sourire de nourrisson édenté.
Pssst, répète-t-elle.
Vera Candida se remet sur ses pieds et se dirige vers la vieille, soupçonnant que la voix de celle-ci ne pourra venir jusqu’à elle, elle s’approche tout près de la vieille femme qui porte des breloques brillantes autour du cou, des médailles surdimensionnées et des sautoirs en strass, on dirait un catcheur, elle a l’air d’avoir sorti la totalité de son coffre à bijoux et enfilé tout ce que ses cervicales peuvent encore endurer, elle a un oeil morne et un oeil pétillant, elle semble avoir cent dix ans. Vera Candida regarde les doigts de la vieille accrochés au grillage comme des griffes de serin, elle dit, Bonjour.
Tu es Vera Candida, rétorque la vieille de sa toute petite voix. Elle toussote et ajoute, Ta grand-mère m’avait bien dit que tu reviendrais.
VATAPUNA
Les deux métiers de Rose Bustamente
Rose Bustamente, la grand-mère maternelle de Vera Candida, avant de devenir la meilleure pêcheuse de poissons volants de ce bout de mer, avait été la plus jolie pute de Vatapuna
Répudiée à quatorze ans par sa mère parce qu’elle n’était plus vierge, Rose Bustamente, avait vécu chez des cousins sur les hauteurs de Vatapuna. Les cousins en question étaient ceux dont les fils avaient fréquenté d’un peu trop près Rose Bustamente. On n’avait pas su si c’était pour cette raison qu’ils l’avaient accueillie chez eux. Ils l’hébergèrent pendant quelque temps avec une sorte d’indifférence fruste comme si elle avait été une biquette de plus.
Rose Bustamente avait fini par descendre à Vatapuna et faire ce que sa mère avait prédit qu’elle ferait: elle s’était mise à son compte dans la cabane, aujourd’hui transformée en snack miteux. Ses clients pouvaient baiser avec elle pour une somme raisonnable en écoutant la mer qui toussotait sur la plage tout devant, à l’abri derrière la portière en capsules plastique multicolores.
A quarante ans, se considérant trop vieille pour continuer son ministère, Rose avait cessé d’être pute. Elle ne se voyait pas travailler exclusivement de nuit pour ne pas effaroucher le chaland et n’imaginait pas se faire toute petite sur sa paillasse afin que ses rondeurs amollies passent pour des plis du drap. Elle s’était acheté une barcasse, une épuisette et un chapeau à large bord et s’était mise à pêcher les poissons volants (ou plutôt à les attraper comme s’ils avaient été des papillons) pour les vendre au marché le mercredi et le samedi. Elle était habile, délicate et dure à la tâche, toutes qualités qui lui avaient fort servi dans ses deux métiers.
Jusque-là Rose n’avait pas eu d’enfant parce qu’elle ne le pouvait pas, ce qui avait été bien pratique. Elle trouvait le monde assez instable et violent pour se réjouir ouvertement de n’avoir pu enfanter.
Très peu pour moi, disait-elle, assise à son étal sur le marché, à une ou deux vieilles commères près d’elle qui lui enviaient ses poissons volants et les bracelets qu’elle portait au poignet. J’ai le ventre sec et la vie plus simple. Et les vieilles acquiesçaient en la plaignant et en la jalousant tout à la fois, causant dès qu’elle avait son joli dos tourné, Elle fanfaronne mais elle est bien malheureuse, la pauvresse, personne ne s’occupera d’elle dans ses vieux jours, ni mari ni enfants, oubliant, les cousines, combien leurs maris étaient choses volatiles et que leurs enfants avaient eu tôt fait de quitter la cabane pour tenter de voler de leurs propres ailes, s’abstenant de retourner auprès de leur vieille maman même dans ses dernières heures.
Rose n’avait jamais été importunée à cause de son premier métier, ni pendant qu’elle l’exerçait ni après qu’elle l’avait abandonné. Les femmes avaient été assez naïves pour penser qu’avec une Rose au village leurs hommes n’iraient jamais chercher plus loin et elles étaient assez rouées pour lui être reconnaissantes de faire ce qu’elles-mêmes ne voulaient plus faire aussi souvent et avec d’aussi jolies simagrées qu’au début de leur mariage.
Rose avait donc eu la paix pendant des années et sa vie ne se compliqua qu’avec l’arrivée de Jeronimo à Vatapuna.
Blanche avec des ailerons
Rose connaissait déjà deux trois choses à propos de Jeronimo quand elle apprit qu’il approchait du village. Sa réputation l’avait précédé comme c’est le cas pour tous les brigands, les joueurs professionnels ou les play-boys aux yeux verts. Même dans cet endroit reculé du monde, à l’extrémité ouest de l’île, dans le village de Vatapuna, on avait eu vent de Jeronimo.
Ce fut au marché que Rose fut informée de son arrivée. On avait l’impression d’entendre parler d’un cyclone, trajet, force des vents, espoir d’y échapper, certitude de finalement se retrouver pile au centre de son oeil. Rose vendait ses poissons volants sans se préoccuper outre mesure de la rumeur, elle avait mis au point des techniques d’évitement, l’air d’être là sans y être, le sourire entendu, le hochement de tête, une absence étudiée et bienveillante comme si tout cela ne l’affectait pas directement, elle aurait bien aimé certes être concernée, mais, allez savoir pourquoi, les rumeurs ne réussissaient jamais à la passionner ou à la faire sortir de ses gonds.
Bonne Lecture!